Volunteers Needed For MDRS Crews: Hard Work, No Pay, Eternal Glory.
The Mars Society is looking for a few good Martians.
The Mars Society is looking for a few good Martians.
Il est des annonces qui attirent immédiatement le regard. Celle-là en disait bien assez : je devais me porter volontaire! Mais pas seul. Seul, beaucoup de choses semblent bien plus insurmontables qu'en équipe.
La première étape était donc de monter cette petite équipe. C'est comme ça que je me suis retrouvé un soir, occupé à recruter des co-équipiers dans les lieux les plus improbables. C'est finalement Céline qui a répondu à l'appel. Sans vraiment y croire (imaginez : nous allions sur Mars!), nous avons entamé le projet.
La deuxième étape fut de se trouver un programme de recherche. Plutôt que de participer comme simples membres d'équipage, nous avions en effet envie d'apporter une véritable pierre à l'édifice. Comment faire? En contactant un maximum de gens. Nous avons eu beaucoup de réponses, mais c'est finalement vers Véronique Dehant, de l'Observatoire d'Uccle, que nous nous sommes tournés.
Véronique avait déjà travaillé sur les simulations martiennes de Vladimir Pletser et savait donc de quoi il en retournait. Elle et Olivier Verhoeven, aussi de l'Observatoire, nous ont proposé une recherche basé sur la prospection géophysique. Ils avaient déjà pris contact avec Michel Menvielle, de l'Université de Paris, qui se proposait de nous prêter différents instruments, en fonction de la date de la simulation.
La troisième étape fut de rédiger le programme de recherche. Nous avons vu avec Olivier ce que nous pourrions proposer en fonction des instruments que Michel nous prêtait. Le programme fut finalement baptisé "Geophysical prospecting on the martian soil : search for water and study of the magnetic field", càd "Prospection géophysique sur le sol martien : recherche d'eau et étude du champ magnétique".
La première étape était donc de monter cette petite équipe. C'est comme ça que je me suis retrouvé un soir, occupé à recruter des co-équipiers dans les lieux les plus improbables. C'est finalement Céline qui a répondu à l'appel. Sans vraiment y croire (imaginez : nous allions sur Mars!), nous avons entamé le projet.
La deuxième étape fut de se trouver un programme de recherche. Plutôt que de participer comme simples membres d'équipage, nous avions en effet envie d'apporter une véritable pierre à l'édifice. Comment faire? En contactant un maximum de gens. Nous avons eu beaucoup de réponses, mais c'est finalement vers Véronique Dehant, de l'Observatoire d'Uccle, que nous nous sommes tournés.
Véronique avait déjà travaillé sur les simulations martiennes de Vladimir Pletser et savait donc de quoi il en retournait. Elle et Olivier Verhoeven, aussi de l'Observatoire, nous ont proposé une recherche basé sur la prospection géophysique. Ils avaient déjà pris contact avec Michel Menvielle, de l'Université de Paris, qui se proposait de nous prêter différents instruments, en fonction de la date de la simulation.
La troisième étape fut de rédiger le programme de recherche. Nous avons vu avec Olivier ce que nous pourrions proposer en fonction des instruments que Michel nous prêtait. Le programme fut finalement baptisé "Geophysical prospecting on the martian soil : search for water and study of the magnetic field", càd "Prospection géophysique sur le sol martien : recherche d'eau et étude du champ magnétique".
1 commentaire:
Interesting to know.
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